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HISTOIRE DE LA LITTERATURE FRANÇAISE - LE MOYEN AGE, LE SIECLE DES HUMANISTES, LE SIECLE CLASSIQUE, LE ROMANTISME

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HISTOIRE DE LA LITTERATURE FRANÇAISE


LE MOYEN AGE

Le Moyen Age va de la fin de l'Empire romain jusqu'à la fin du XV siècle. Cette période a produit une littérature originale qui a été revalorisée seulement à l'époque romantique. A la base de la société médiévale il y a une organisation hiérarchique. La famille est très importante pour le besoin collectifs du clan.

L'idéal religieux et l'idéal militaire (les chevaliers) dominent pour longtemps cette période.

La classe bourgeoise, avec son affirmation, porte des changements sociaux, littéraires et artistiques qui portent aussi au développement de l'économie citadine.

La littérature, une fois orale, est trancrite et récitée à haute voix pour toutes les personnes qui veulent voir les spectacles. Il n'y a pas seulement des littératures déstinée aux cultivés mais il y a des genres populaires. La société est en évolution continuelle et nous pouvons trouver cet aspect dans la littérature.



La langue vulgaire remplace le Roman ancien même si elle continue à être prestigieuse dans les cultivés.

Tous le textes du IX siècle étaient écrits en latin mais elle n'était pas un langue comprie par le peuple donc avec le Concile de Tours on établi d'utiliser le roman.

La poésie épique accomne toujours l'aube de toute la littérature. Les gestes de Charlemagne et de ses chevaliers enchantent le public qui suit les performances des jongleurs.

Les origins des chansons de geste restent obscures. En fait il existent probablement des légendes diffusée dans la société du temps que des jongleurs représentaient et remaniaient. Des clercs anonymes ont traduit par la suite à l'écrit les mythes de la tradition orale.

L'apologie de la femme s'oppose aux mythes virils de la chevalerie. Si dans l'épopé de la chanson de geste les personnages féminins sont pratiquement eclus, la courtoisie chante l'amour pour la dame et la subordination du chevalier à ses désirs.

Troubadours en langue d'oc, trouvères en langue d'oïl chantent les délices et les tourments de cet amour courtois forcément adultère, sensuel mais épuré de toute vulgarité réaliste.

Au XIII siècle on voit l'apparition et la diffusion de la prose. L'evolution apporte deux types d'innovations : la rédaction en prose de la matière courtoise et l'introduction d'un courant plus réaliste qui refuse le merveilleux et qui devient parodie courtoise dans la chantefable Aucasin et Nicolette.

La littérature offre souvent un enseignement, une moralité, des sentences ou des proverbes. Les croisades font sentir l'exigence du témoignage historique et de la cronique des faites observé et vécus à la première personne.

La cultures des villes produit ses poètes et sa littérature. Elle parle de la satire de la féodalité.

Le Moyen Age littéraire est représentation continuelle et performance.

Les trouvères et les troubadours chantaient la femme et l'amour lointain, les poètes du lyrisme la vie des peronnes, leurs amours.


  • LE SIECLE DES HUMANISTES

Le XVI siècle est appellé le siècle des humanistes. On retourn à l'Antiquité parce que les érudits rédecouvrent des sources antiques, les traductions, et ils reprennent les textes originaux. Donc on étude textes directement en grec ou en hébreu. L'imprimerie favori l'ouverture et les échange avec d'autres pays.

La Renaissance est un phénomène européen, Dans cette période l'Italie joue une grande influence. Les plus grands écrivains français de cette période sont Rabelais, Montaigne et Ronsard.

Montaigne confirme que son siècle est trop optimiste mais il ne manque pas de ressources. Le baroque souligne qu'il y a trop d'excès.

La « Brigade » de Ronsard est composée par sept poètes qui veulent s'affranchir de la poésie de leurs prédécesseurs. Ils étaient très nationalistes et il pensaient que leur pays, la France, était superieure à l'Italie comme culture et tradition littéraire.


  • LE SIECLE CLASSIQUE

Le XVII siècle est associé à l'art classique. Les premiers dix ans de ce siècle sont caracterisés par un certain irrégularité mais surtout par le baroque. Le baroque se trouve dans tous les genres mais surtout on le remarquera dans le théatre et la poésie.

Le caracteristes de cette période sont la recherche de l'ordre et le goût de la régle. Le cardinal Richelieu fait construire l'Academié française où des sauvants imposent des canons pour un certain type de littérature. Chapelain et D'Aubigné font le même pour le théatre et ces régles seront respectées par les grands écrivains du siècle comme Racine et Molière.

Dessectiunes trouble la philosophie du temps en introduisant le rationalisme méthodique et en boulversand les cadres de la science et de la réligion. Il pense qu'om doit regarder au future et on doit croire que le passé ne nous donne rien.

Pascal était un génie mathematique outre que grand écrivain moraliste. Il critiquait le laxisme des jésuites et la misère des hommes dans ses livres « Provinciales » et « Pensées ».

Ecrivains comme La Fontaine suit en idéal classique pour leurs ouvres car dans les décennies '60 et '80 on a le triomphe du classicisme qui se trouve dans tous les arts. Il est synonyme d'une esthétique qui nous ensigne è nous exprimer avec naturel.

Les écrivains s'inspirent aux tragédies greques de l'Antiquité. Ces ouvres greques sont des modèles à imiter. Se divertir mais s'instruire aussi, chercher la beauté, ça veut dire « Plaire et toucher ». L'esprit de cette Pèriode vise à l'universalité mais évite la personalisation.

Ce siècle est très important pour le théatre, sourtout en France où le théatre était peu frequenté par rapport aux autres Pays éuropéens. Le drammaturge Corneille centre ses ouvres théatrales sue le héros, personnages qui ont le sens du devoir. Il trouve l'inspiration dans le monde romain.

Quelques-uns anticipent au XVII siècle le point de départ correspondent à la crise de la conscience éuropéenne et à la naissance de l'esprit critique mais on pense que l'age des Lumières commence vers la fin du siècle précedent et se termine quelques décennies avant le siècle nouveau.

La proande des Lumières passe d'un Pays à l'autre : on exalte savants comme Voltaire, Cesare Beccaria, Montesquieu, Diderot et l'abbé Galiani. Pour exalter l'esprit critique on combat la superstition, la crédulité, l'imposture religieuse, donc on remet en question l'autorité de l'Eglise.

La ure du poète courtisan est petit à petit remplacé par l'homme de lettres qui commence à vivre et à manifester une plus grande autonomie. Donc « Monsieur le Philosophe » est le héros du siècle. L'esprit réformiste favorise une opposition de plus en plus violente contre l'autorité spirituelle et temporelle. On veut créer une politique plus efficace et juste, une économie plus libre et on prône un système judiciare plus moderne contre la pratique de la torture.

L'enterprise de l'Encyclopédie commence en 1745 avec la collaboration de l'editeur Le Breton. Beaucoup de protagonistes de la culture du temps partecipent à la redaction de l'Encyclopédie et créent une ouvre importante pour la diffusion de la nouvelle philosophie des Lumières.


  • LE ROMANTISME

La littérature européenne reste « classique » jusqu'à la fin du XVIII siècle. On doit suivre certains règles morales. A la fin de ce siècle, les écrivains français ont moins d'obstacles mais les influences romantiques sont moins fréquentes et plus isolées. Le préromantisme n'est pas encore un vrai mouvement, c'est plutôt un mot qui indique des écrivains à la nouvelle sensibilité.

Jean Jaques Rousseau: c'est celui qui influence le plus le préromantisme. Il réclame le droit de l'instinct, exalte les sentiments personnels, defende la nature et impose la mode de l'autobiographie.

Denis Diderot: il est un des précurseurs des idées littéraires audacieuses et il est famoeus pour son enthousiasme et ses contradiction très peronnelles. Il reste célèbre pour l'Encyclopédie.

Bernardin de Saint-Pierre: il suit les idées de Rousseau. Son ouvre la plus célèbre est « Etudes de la nature ». Il avait succes seulement en France.

Chateaubriand: il influence beaucoup d'écrivains de toute l'Europe et son succes est dû surtout à « René » un héros romantique qui incarne le « mal du siècle ».

Mme de Staël: elle est une femme savante qui est une grande théoricienne et la proandiste d'une littérature différente de la classique.

Senancour: il est influencé par Rousseau. Il a l'inquiétude de sa génération. Son ouvre la plus célèbre est « Oberman ».

Benjamin Constant: il écrit son aitobiographie sur tous ses amours de jeunesse. Il écrit encore un roman où il exprime ses avis sur le droit et les sentiments

Le Romantisme porte la société vers l'age moderne. Ce mot n'indique pas seulement un état d'ame mais il se réfère à une vaste période de la vie intellectuelle d'Europe. Le Romantisme peut être defini une période dans laquelle la sensibilité individuelle prend des formes différentes et exprime une crise de la société moderne. Au contraire des Illuministe, les Romantiques n'acceptent pas la tyrannie. L'art est un moyen pour exprimer inquiétudes, sensations et angoises de l'individu.

Un des thèmes de ce siècle est le sujet « je ». Rousseau parle souvent de ce « moi », un « moi » qu'on peut trouver en cherchant dans l'autobiographisme . Ce Moi nait de l'ennui, de l'insatisfaction et comme celui de Baudelaire, est un "moi" exalté qui exprime souffrances, superiorité.

Victor Hugo est sans doutes chef du romantisme. Noumerous littéraires ont une revue dans laquelle expriment leurs idées. En 1823 Deschamps fonde « La Muse française » et Hugo y collabore. Cette revue a un grand succès.

Dans cette période on découvre les littératures romantiques du Nord, le Moyen Age et la Reinessance français, fin de la tradition classique. On refuse les règleset on demande la liberté de la création des artistes. On découvre que l'esprit nationel peut être illustrer dans la littérature et donc exalter les couers des Français.

Le romantisme influence surtout la poésie lyrique et le théatre. On créeé le drame, un genre moderne qui se base sur le réel. La poésie est profonde, réel, sincère, elle explore l'ame humaine, dans tout son mystère.




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