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LA PESTE - DE ALBERT CAMUS

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LA   PESTE


DE ALBERT CAMUS


RESUME


Les événements se sont produits à Oran,une ville de la coté algeriènne.Les habitants s'intéressent au commerce et ils s'occupent de faire des affaires.Un jour,le 16 avril,le docteur Rieux a vu des rats morts ainsi il a averti le concierge de la maison.Le soir meme Rieux a vu un rat tomber en rejetant du sang par les babines entrouvertes.Le landemain le concierge a trouvé trois rats morts pleins de sang et à partir du 18 les usines et les entrepots dégorgèrent des centaines de rats.Le 29 avril le docteur va visiter le concierge parce qu'il a une de noeud de bois à la base du cou.Il vomite une bili rosastre,il boit beaucoup,sa température est à 39 et les ganglions du cou ont gonflés.Après deux jours il meurt.Maintenant il fallait isoler les malades et rieux décida d'ouvrir les abcès. Les ganglions déversaient une purée melée de sang.Les malades continuaient à mourir dans la meme façon alors le mot de 'peste' venait d'etre prononcé.Le docteur se souvenait de la peste de Constantinople qui avait fait dix mille victimes en un jour.A Canton,il y avait soixante-dix ans,quarante mille rats étaient morts de la peste avant que le fléau s'interessa aux habitants.Ensuite Rieux decida de parler avec Grand (un employé à la mairie),et avec Cottard (un homme qui avait essayé de se suicider).L'employé montra à Rieux le nombre des personnes mortes:onze morts en 48 heures.Pour arreter cette maladie il fallait appliquer les graves mesures de prophylaxie prévues par la loi.En attendant les vaccins,Rieux ouvrait les bubons.la première chose que la peste avait apporté aux habitants fut l'exil:personne ne pouvait espérer l'aide du voisin et chacun restait seul avec sa préoccupation.Il y avait aussi des gardes aux portes d'Oran ainsi pas un véhicule n'était entré dans la ville.Vers la fin du premier mois de peste les autorités ecclésiastiques de la ville décidèrent de lutter contre la peste par leurs propres moyens en organisant une semaine de prières



collectives.Certains citoyens s'étaient déjà laissés aller à la violence et avaient essayé de tromper la vigilance des barrages pour fuir hors de la ville.

On arrivait à la fin de juin.Ces premiers chaleurs coincidèrent avec un accroissement en flèche du nombre des victimes:sept cents par semaine.Il s'était crée un autre journal 'Le courrier de l'épidemie'.Il informait les citoyens des progrès ou des reculs de la maladie.Il y avait aussi une nouvelle forme de l'épidemie parce que maintenant la peste devenait pulmonaire ainsi tous les citoyens avaient la peste.Jusqu'ici la peste avait fait beaucoup plus de victimes dans les quartiers extérieurs,plus peuplés et moins confortables,que dans le centre de la ville.Mais elle semblait tout d'un coup se rapprocher et s'installer aussi dans les quartiers d'affaires.Il y eut beaucoup d'incendies;il s'agissait de personnes revenues de quarantaine qui mettaient le feu à leur maisons en pensant qu'ils fasaient mourir la peste.Il semblait qu'il s'acharnasse sur tous ceux qui avaient pris l'habitude de vivre en groupes:soldats,religieux ou prisonniers.La peste avait enlevé à tous le pouvoir de l'amour et meme de l'amitié:elle avait supprimé les jugements de valeur.Et cela se voyait à la façon dont personne ne s'occupait plus de la qualité des vetements ou des aliments qu'on achetait.Dans les derniers jours d'octobre le sérum de Castel (un autre docteur),fut essayé mais il n'allait pas bien parce qu'un enfant était mort.Castel était en train de preparer un nouveau sérum.Maintenant il n'y avait plus un seul lieu public que ne fut transformé en hopital ou en lazaret.Les formes pulmonaires se multipliaient tandis que les cas de peste bubonique diminuaient. La peste ne s'arreta pas le landemain mais elle s'affaiblissait très vite ainsi elle n'a pas fait mourir Grand et la jeune fille de Rieux.Les portes de la ville s'ouvrirent à l'aube d'une belle matinée de février.Maintenant les personnes qui étaient en exil pouvaient retourner à Oran.

Cette allégresse était toujours menacée parce que la peste réveillerait ses rats et les enverra mourir dans une cité heureuse.


CADRE ESPACE-TEMPOREL


Les curieux événements qui font le sujet de cette chronique se sont produits en 1940 Oran.A première vue,Oran est une ville ordinaire et rien de plus qu'un

préfecture française de la coté algérienne.La ville est laide.Elle a l'aspect tranquille.Pendant l'été,le soleil incendie les maisons trop sèches;on ne peut plus vivre alors que dans l'ombre des volets clos.Oran est une ville coloniale et,comme telle, elle-meme divisée en deux zones:le centre riche,et les faubourgs,les quartiers extérieurs,pauvres,surpeuplés.


LES PERSONNAGES


Il y a beaucoup de personnages principaux:les trois médecins,Rieux, Castel et Richard;Grand,qui est un employé de mairie.Il a une cinquantaine d'années.Rambert,un journaliste qui veut des informations sur la peste.Michel,le concierge du docteur Rieux.c'est le premier à mourir à cause de la peste.

Les personnages secondaires sont: Cottard,qui a essayé de se suicider; Tarrou,un habitant de la ville aimé de tous.Il veut aider les personnes malades.Paneloux,un pretre qui cherche à faire affronter la vie aux malades et aux personnes pas malades.


INTERPRETATION


J'aime beaucoup ce livre parce qu'il décrit très bien les événements qu'ils se passent.Camus a décrit très bien comment les rats meurent et tous les symptomes qui ont les personnes malades.

On peut distinguer trois niveaux:

un niveau réaliste:le fléau décrit objectivement,avec les rats,les symptomes,la ville en quarantaine;

un niveau allégorique:la peste évoque allusivement la guerre;

un niveau métaphysique:la peste est un fléau inhumain qui nous ramène à notre misère.Elle est le mal absolu,la grande peur.




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